Bonjour ,
j'étais en vacance et de retour , je lis tout vos message qui me touche.Bon j'ai donc suivi le parcour chimio à gustave roussy.Il à d'ailleurs la photo de mon fils qui à aujourd'hui 6 ans dans les archives.
Bon, c'est vrai que c'est dur surtout sur la fin, les dernières séances mais en même temps on sait que c'est les dernières et ça aide.
Le casque pour les cheveux franchement ça sert à rien et c'est tout à fait désagréable.Pour moi personnellement ça a été très important de pouvoir assumer la perte des cheveux et même de me trouver belle sans cheveux.
Il me semble que cette acceptation m'a aidé beaucoup.On est belle aussi sans cheveux et puis après il repousse tout neuf, tout beau.
Un super bouquin que je conseille tout le temps et qui m'a été conseillé par l'infirmière qui m'a fait la première perfusion : "l'amour, la médecine et les miracles " de bernie Siegel.UNe infirmière merveilleuse qui restait après l'heure pour être avec moi.Ells ne sont pas toute comme ça mais si on cherche bien il y en as toujours une !
Evidement , ce n'est pas une partie de plaisir mais pour moi ça à été l'ocasion de prendre conscience de la vie, le vie en moi et chez les autres et dans la nature aussi.Je me suis rendu compte que j'avais certain amis qui étaient merveilleux par leur présence.J'ai beaucoup travailler sur les images mentales.J'essayais de ne jamais laisser les peurs, les doutes m'envahir, je m'occupais soigneusement de mon corp en faisait des petits exercices le matin juste au réveil, en mangeant vraiment ce que j'aimais, en me balladant souvent et chaque soir avant de m'endormir j'imaginais un grand chantier à l'intérieur de moi avec des ouvriers partout qui travaillaient pour donner de la force aux cellules saines et détruire les cellules malades.
Attention aux effets de la chimio qui peuvent nous faire penser facilement que c'est elle qui rend malade or la chimio, est notre ami, elle nous guérit parfaitement, alors pendant la perfusion, c'est bien de pouvoir imaginer correctement que le produit est vraiment entrain de sortir la maladie de notre corp.
Il ya aussi tout un tas de techniques possible ( sophrologie, homéopathie etc. )
je crois que chacun doit trouver ses propresaides qui lui conviennent mais le plus important c'est vraiment de faire l'effort de ne pas laisser la tête nous emporter vers le découragement.
J'ai vraiment observé que selon mon état mental, le taux de BHCG baissait plus ou moins vite.Quand j'avais passer une semaine pas bien, ça descendait moins vite que les semaines ou j'avais la pêche.
c'est mon expérience.
Attention aussi aux gens qu'on rencontre dans les salles d'attentes,je ne suis pas entrain de dire qu'il faut être fermé et ne parler à personne mais moi j'ai eu quelques mauvaises expériences à vouloir trop parler justement avec des gens qui n'hésite pas à raconter des horreurs, ce n'est pas le moment du tout d'écouter des histoires terribles de personnes qui ne se rendent pas compte du tout de ce qu'ils racontent.
Pour les salles d'attentes, j'ai toujours essayer de ne pas rester inactive devant les télé ou le regard dans le vague en train de ruminer, ya rien de pire que ces salles d'attentes avec tout ces gens sans cheveux qui regard dans le vide. Un bon bouquin positif, un ami qu'on aime bien et qui n'a pas peur de ces ambiances, faire quelque chose qu'on aime....
Une autre chose que j'ai fait mais je ne sais pas si c'est possible aujourd'hui, a peu prèt au milieu de traitement, je me suis rendu compte que je pouvais avoir accé à santé service et que du coup quelqu'un pouvait venir me faire la chimio à domicile, je me suis battu pour ça et j'ai obtenu.Donc j'ai finit les séance de chimio à la maison.Pour moi c'était mieux mais je ne sais pas si c'est valable pour tout le monde.
dans l'enssemble, je suis convaincu qu'il faut être actif dans le millieu hospitalier qui n'est pas toujours très humain on va dire même si l'on rencontre des gens merveilleux.
Si on se sent maltraité , il ne fait pas hésiter à le dire et le contraire aussi d'aillleur pour encourager ceux qui sont attentif au fait qu'il soigen des personnes qui sont dans un moment de leur vie difficile.
Peut-être que ce que je dis paraitra exessif à certain mais moi dans cette expérience même si je savais que j'allais guérir, je sentais que c'était important quand même et j'ai choisit dêtre active.
C'est vrai que ça a été un moment de ma vie important et que je suis touché quand je lis des témoignages de femmes à qui ça arrive.
Voilà, je crois que j'ai dit l'essentiel mais si quelqu'un veut des détail ou des conseil en particulier, qu'elle n'hésite pas à m'écrire en directe même.
catherine.franchel@free.fr
je souhaite plein de courage et j'envoie plein de chaleur à celles qui sont dedans aujourd'hui.
Il faut surtout bien se traiter, prendre soin de soi dan sce moment là particulièrement
A bientôt
catherine
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! J'ai eu des règles tout à fait standard 5 semaines après le curetage, avec un taux bhcg non nul. Les deux ne sont donc pas incompatibles...
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