Bonjour Docteur,
Pourriez-vous répondre à mes questions SVP ?
Suite à ma première question, j’ai pu lire sur ce forum l’échange suivant :
« « « « comment une
>contamination par le Vih avec des fluides contaminants peut-elle se
>réaliser ou non par la peau?
Oui, mais en injection >Par:
>1-Bouttons,éraflures,écorchures sur la surface de la peau avec présence de
>petits saignements (example:griffures d´un chat.)
En théorie oui, en pratique, non.
>2-Ou bien avec blessures importantes, plaie ouvertes (example:Blessure réalisée avec un
>object contendants)
On n'a pas de statistiques sur des gars qui éjaculent dans des plaies béantes. » » » »
Mes questions sont les suivantes :
Comment expliquez-vous cette différence « en théorie oui et en pratique non » ? Et si la plaie n’était pas saignante mais un peu sensible aux produits à base d’acide ou Javel ?
J’ai pu lire ailleurs que même les micro-lésions sont propices à la contamination ?.
De plus, avant d’avoir vos réponses qui me calmaient un peu j’ai eu tous les symptômes de primo-infection (tous ça est-il psychosomatique ?) :
- bouffées de chaleurs qui ressemblent à la fièvre
- maux de tête
- dégoût de la nourriture, nausées et manque d’appétit (jusqu’au 8e jour après l’incident)
- froid dans les articulations et troubles de sommeil
- gland enflammé sans avoir des traces visibles (jusqu’aujourd’hui mais moins pénible)
- sueur nocturne –par moments- (j’avais comme-même ça avant mais avec moins de fréquence)
Je n’arrive pas à calmer mes inquiétudes malgré mes doutes sur le fait qu’il y a eu réellement un contact entre la sécrétion vaginale et la plaie à moitié morte ???
Merci Docteur pour votre patience.