Bonjour,Ma maman (51 ans) a fait une rupture d'anévrisme le mercredi 31/12/03 au soir. Elle a fait d'abord un malaise, puis s'est réveillée avec les jambes paralysées et ensuite lorsque le médecin de garde était là, on l'a déplacé sur un lit pour qu'il puisse lui faire un éléctrocardiogramme et à ce moment là elle a fait une crise d'épilespie.
Elle a été transférée à St Etienne dans la nuit où elle a pu subir une ambolisation sous anesthésie générale.
Elle a eu énormément de chance dans son malheur : pas de comas, opération réussi....
Il ne reste aujourd'hui que des séquelles au niveau de la vue (qui selon les médecins pourraient se résorber).
Elle fatigue très vite et prend vite mal à la tête.
Je dois remercier le CHU de Bellevue (42) qui a fait un très bon travail, même au niveau psychologique pour ma maman et la famille, mais je dois dire que l'hôpital de notre département où elle a été tranférée au bout d'une semaine a été LAMENTABLE.
Je plein grandement les infirmières qui doivent supporter des Grands Professeurs qui doivent aussi avoir le cerveau un peu trop sous pression et qui se tirent dans les pattes à patient interposé...
Bref il l'on mis à la porte le 15 janvier sans lui trouver de maison de repos et en lui donnant une ordonnance fausse et sans médicaments d'avance.
Je voulais juste témoigner comme quoi une crise d'épilepsie ne venait pas de l'opération mais plutôt du traumatisme que le cerveau peut subir (avant ou après une opération).
Je voulais également savoir si ma maman risque qlqe chose si elle se fatigue trop à la maison (c une personne qui a tjrs tt géré et qui s'occupe de tt)??
Elle a de plus en plus souvent mal à la tête et je dois avouer que je m'inquiète bcp pour elle : elle est seule à la maison tte la journée et ça m'angoisse...
Quels sont les risques maintenant???
Je vous remercie d'avance de la suite que vous apporterez,
P.S. : j'ai oublié de vous dire que c moi qui ai trouvé ma maman et qui ai dû gérer la situation jusqu'à l'arrivé du SAMU. (je crois que je n'ai pas encore bien digéré le choc : d'où l'inquiétude)
Solenn