Modifié le 20-05-05 à 12:26 (GMT) par D_Dupagne (admin)Et non tu n'es pas la seule. J'ai le même parcours, syndrome nephrotique à lésions glomérulaires minimes détecté tardivement en août 2000. Hospitalisation, biopsie rénale transjugulaire et multiples conséquences.
Traitement par corticoïdes à fortes doses, rechute, association du corticoïde avec chloraminophène, rechute, rebelote, remission et rechute il y a un mois et demi. Début du traitement par ciclosporine et corticoïdes.
Le moral suit la courbe de protéïnurie, de fatigue et de poids.
Il est parfois difficile de vivre avec une maladie dont on ne connaît pas l'origine et dont les conséquences peuvent être lourdes voire fatales.
Le côté positif est de nous permettre de voir ce qui est important dans la vie, et de reconnaître les personnes qui nous aiment et sur qui nous pouvons compter.
Mon truc à moi en cas de grosse déprime : canapé, nutella et ouvrez le vannes. Après je me sens mieux.
Courage
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