Bonjour,Depuis à peu près deux mois j'ai des croûtes sur le crâne (qui ont augmenté en nombre avec le temps) et j'ai fait voir ça à mon beau père qui est médecin. Il a donc constaté que c'est un teigne et m'a donné un médicament.
Hier il a regardé dans son livre sur la dermatologie et il était marqué qu'il fallait enduire les cheveux d'huile afin de ramolir les croûtes et de les enlever. Alors forcément j'ai eu droit à un "décroûtage". Seulement maintenant ça me fait super mal, c'est comme si on m'avait râpé la tête.
Alors voila, je viens vous embêter avec quelques questions probablement stupides, mais je ne trouve pas les réponses:
Déjà je voulais savoir si il était vraiment nécessaire de souffrir pour enlever toutes les croûtes. Est-ce que celles ci ne sont pas sensé tomber d'eux même? Et maintenant qu'elles sont enlevés, ça risque pas de revenir?
Ensuite je voulais savoir concernant mes chats: partout on peut lire que c'est les chats qui provoquent le teigne chez l'homme. Mais est-ce que le chat doit avoir ce teigne pour qu'on l'atrappe, ou alors même si il ne l'a pas il peut faire en sorte que ce teigne se révèle chez l'homme? Je m'explique: j'ai un chat depuis un peu plus d'un an qui n'a jamais eu aucun problème et qui a toujours dormie sur mon oreiller. Et là depuis un mois on en a pris un deuxième à qui j'ai aparemment refilé mon teigne. (c'est ce que je suppose puisque moi je l'avais avant d'avoir le deuxième chat). Alors je me dis que ça peut pas venir de la plus grande puisqu'elle n'en avait pas et n'en a toujours pas. Je me trompe? Et comment je dois agir avec eux? Je peux plus du tout les prendre dans mes bras?
Et puis pour finir je voulais savoir si il faut que je lave les housses de mon fauteuil. Est-ce que les spores peuvent se nicher là? Ou alors c'est pas nécessaire.
J'aimerai aussi savoir combien de temps ça va durer avant que je me débarasse de cette crasse.
Merci à ceux qui liront ce message et qui auront la gentillesse de me répondre. Je sais que j'ai été longue et que mon problème est très minime par rapport à d'autres maladies, mais j'en ai quand même le moral dans les chaussettes et surtout je me dégoute.