Modifié le 22-06-04 à 13:07 (GMT)Je squatte encore, je n'ai rien d'intéressant à dire, sinon que je vais devenir barjot de ne pas dormir.
3 heures la nuit dernière, 4 heures la nuit d'avant. Malgré deux kilomètres de nage, une séance d'aquagym, pas de café...
J'ai un travail à faire. Fatalement, je le fais mal. Impossible de me concentrer. Je me suis assoupie tout à l'heure. J'ai mal, les paupières lourdes, le cerveau embrumé. J'en pleure tellement c'est pénible.
Ca fait six ou sept ans que ça dure.
Que faire ? Parfois, j'aimerais un arrêt de travail. Mais je n'ose pas demander. Je n'ai même pas eu un jour de maladie lorsque j'ai été hospitalisée, "ils" ont oublié... j'ai dû poser des congés.
Réveil 23h30 (au lieu de 03h30 en théorie), et je travaille jusqu'à ce soir 18h, puis j'ai 1h30 de trajet. Souvent je me demande par quel miracle je tiendrai debout jusque là.
Ou bien comme hier... un assoupissement au volant, des zig-zags sur la route...
A partir de septembre, j'aurai la joie de travailler aussi la nuit.
Et bien. Vivement la retraite !
(désolée pour ma complainte, ce n'est pas l'endroit, mais là j'avais un peu besoin).
Cécile
Rajout :
Travail très matinal.
Le fait de se rendre à son travail avant 6 heures du matin est considéré comme du travail de nuit en Suisse et donne lieu à 4 semaines de congé annuel en plus par an. Les travailleurs obligés de se lever très tôt contrarient leur sommeil puisqu'ils se réveillent autour du minimum thermique, quand la somnolence est au maximum !
La sieste est indispensable pour compléter le sommeil nocturne.
Source : http://sommeil-mg.net/