>
>Ce n'est pas forcemment la médecine, mais plutôt l'hygienne,
Parce que pour vous l'hygiène n'est pas partie intégrante de la médecine ?
N'est-ce qu'une option au BEP Sanitaire-Social pour vous ? Qu'est-ce donc,
sinon la recherche médicale ou sur la santé, qui a promu les règles
d'hygiène afin d'éviter les conséquences sur la santé d'une non observation
? Les règles d'hygiène sortent tout droit du savoir médical dont elles ne
sont qu'une branche.
>Et si , après avoir augmenté, l'espérance de vie se mettait
>à .... diminuer !
A mon avis c'est exactement le contraire, et nombre de scientifiques gérontologues le pensent aussi, nos parents et grands-parents
n'étaient pas sensibilisés comme nous le sommes (au tabac, alcool, soleil,
nourriture, etc.) et ils payent actuellement pour certains les années
laxistes qu'ils ont pu vivre en matière de santé publique, à notre époque
les campagnes feront que ses bénéfices s'en ressentiront chez les
générations à venir, rien qu'au niveau des cancers relatifs au tabac vu le
nombre de fumeurs décroissant.
>Car dans une statistique, il faut savoir ce que l'on met.
>
>Les centenaires d'aujourd'hui sont ceux d'avant guerre ayant subi l'élimination "naturelle"
>, ils sont costauds comme un roc.
>Après l'apparition des antibiotiques d'une "certaine médecine" dans laquelle il y
>a du bon, ces même personnes dont la santé de
>base n'était pas affaiblie, bénéficient aujourd'hui de découvertes récentes.
>Ma mère est décéé au bout de son quatrième pacemaker!
>Sans cela, les statistiques auraient été différentes, rapportées au nombre de cas.
Vous êtes malthusianiste ? Partisan du darwinisme social ? Excusez-moi de ne
pas partager votre point de vue, qui en plus à mon sens est faux (et rappelle les
sombres années du 3°Reich), car bien avant l'avènement de la médecine
scientifique, nos ancêtres n'étaient pas nourris au "poulet aux hormones" et
ne connaissaient pas les antibio et pourtant, quand ils atteignaient 35 ans
c'était le grand bout ou mourraient d'épidémies (il y avait le choix) car la
vaccination n'existait pas voire de faim. C'est cette époque que vous
regrettez ? Allez en Afrique (à moins que vous ne préfériez la campagne
chinoise), vous vous y sentirez comme chez vous, le Grand Air, la "Nature",
pas de méchante médecine ni d'horribles vaccins, le rêve quoi !
François