Bonsoir Didier,J'existe réellement et mes déboires de la première chronique ont réellement existé.
J'ai vécu les 1er temps de mon 1er arrêt comme une réelle souffrance : les symptômes décrits ne sont d'ailleurs pas que les miens, sans doute ai-je été moins pudique que certains en parlant de "record woman consommatrice de PQ", de sucettes sans sucre (laxatives) de déprime et autres malheurs en tous genres.
Arrêter de fumer c'est non seulement pas facile mais c'est surtout un combat permanent pour ne pas reprendre : la volonté et l'envie de surpasser chaque seconde, puis chaque minute, puis chaque heure, puis chaque jour, puis chaque semaine et chaque mois cette détestable envie.
J'envie ceux qui semblent - bizarrement - y arriver aussi facilement que toi et je pose la question :
"Si c'est si facile pour toi ? pourquoi ne pas avoir arrêté plus tôt ?"
Bref...
Pour ma part, mon second arrêt est plus aisé, en fait quand je parlais plus haut de mon "écoeurement" c'est qu'il existait réellement, j'étais alors enceinte de quelques jours et je ne le savais pas encore (que personne ne rigole : si, si, si ça arrive de ne pas s'en apercevoir tout de suite :-D). Me voilà donc enceinte de près de 4 mois avec des nausées telles en présence de la cigarette que j'ai dû stoppé net.
Alors c'est vrai que cette fois-ci c'est plus simple, mais le combat restera le même : ne pas reprendre après.
Pour info, j'suis tellement énoooooooooooooooorme (arrêt cigarette + grossesse) que j'en suis à plus 11 kilogs : "Sauvez Willy 2 le retour" !! mais peu importe, c'est un double bonheur : non seulement c'est un heureux événement attendu et espéré de longue date mais encore : je ne fume plus (que demande le peuple ?? )
Alors tu vois Didier, je dis "c'est bien que tu sois un sur-homme du tabac qui, sans aucun effort réussi ce qu'il entreprend : ça marche pour le loto ? ".
A tous les autres - et à moi-même - je dis : "Jeunes Padawans : que la force soit avec Vous".
Ziboussssssssss