Bonsoir Pascal,J'ai passé un grand moment à chercher qques mots pour toi, et en lisant un post "1 mois déjà, mais..." de Envied'air, j'ai trouvé ce que je voulais t'écrire à toi aussi, en voici le "copier-coller" :
Bonjour Pascall, et Envied'air,
Ca tourne en rond dans ma tête : je cherche comment expliquer qu'on ne peut pas, à mon sens, se limiter à 2, 3, ou 5 cigarettes que l'on fumerait par plaisir.
Déjà, la 1ère question est : Y-a-t-il un réel plaisir à fumer ?
Je crois que c'est ce que l'on se raconte et auquel on croit, mais en y regardant de très près, il s'agit plutôt d'un soulagement à un stress d'envie et de besoin, c'est plus le concept de fumer qui donne du plaisir, que fumer en soi.
Il me semble que le soulagement provient de l'inspiration, une illusion de respiration, d'aspirer de l'air vital, soulager une oppression, se remplir.
D'où la souffrance lorsqu'on arrête, ne plus aspirer, inspirer, se remplir, sensation de vide et d'incomplétude. Une petite mort.
Ensuite, nous avons tous expérimenté et compris que fumer est une escalade, toujours plus haut, toujours plus fort.....D'ailleurs, se limiter implique de la frustration, castre la spontaneïté d'un geste qui nous aurait réconforté. D'où frustration, d'où nécessité de combler, etc, cercle vicieux.....
Pour finir, ce serait une erreur pour moi de me dire : je n'en fume que 2, 3 ou 5, juste, uniquement pour le plaisir. Je ne peux pas associer, je ne VEUX pas associer cigarettes et plaisir, c'est un non-sens.
Voilà, je ne prétends pas énoncer des vérités, je cherche et je me donne des éléments de réponses, et je vous lis, et je trouve d'autres éléments de réponses.
Ceci est une réflexion en travaux, en cours d'élaboration, qui ne cesse de s'enrichir au contact de vous tous sur le forum.
La finalité, l'objectif, c'est de ne plus JAMAIS fumer et d'en être heureuse et libre.
Merci de m'avoir lu si patiemment
Atoute. verotatou
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