Hello VicJe me posais la même question avant de mettre le pas dans ma première soirée.
De mémoire, je ne crois pas avoir vécu de soirée ( une seule... ) sans fumer de clope ( même une seule... ). C'est aux soirées que j'ai du mon statut de fumeur. Et maintenant ?
Au bout de 3 semaines, je ne pouvais plus me planquer de mes amis et j'avais même envie de confronter ma détermination à son ennemi le plus dangereux. Et c'est ainsi que j'ai découvert que je pouvais passrer une soirée... SANS FUMER !
Que je peux rire, discuter, flirter, danser, être grave ou léger sans une clope au doigt, sans altération de ma personnalité, sans craindre une débâcle nerveuse à l'odeur des ces milliers de cigarettes autour de moi.
Par ailleurs, le meilleur et le pire est pour le lendemain :
Le meilleur -> Avoir survécu et pouvoir rajouter des pierres au mur de détermination que l'on érige chaque jour ( des rangées de pierres dirais-je... )
Le pire -> Sentir ses fringues. Une odeur réellement fétide qui nous fait souffler de bonheur de ne pas avoir inhalé toute cette saloperie.
Depuis, j'en ai vécu d'autres et chacune se passe mieux que la précédente mais attention cependant à ne pas trop baisser la garde, c'est dans ces occurrences que l'on prend une cigarette sans réfléchir, qu'on l'allume et qu'on replonge...
Une chose cependant : j'ai l'impression de voir un peu moins de fumeurs à ces soirées. Mais est-ce une impression ou une réalité ?
Bon courage à toi.
Patrice