Salut Camense,Eric a tout à fait raison ! Le plus dur est maintenant.
Pour ma part, je me suis servi d'une situation parallèle afin de m'aider à soutenir cette situation. J'étais au milieu d'un long trekking, complètement cramé, le moral dans les chaussettes mais il fallait continuer à avancer. Pas question dans ces cas là de dire "hey les gars, je me repose ici 24 heures et on repart OK ?". Non. J'ai donc appliqué le plan des cas critique : je regarde devant moi, je marche toujours du même pas et je respire. J'ai ainsi abattu les kilomètres, complètement asociable mais je l'ai fait.
Dans ces 3 premiers jours, j'ai utlisé les mêmes paramètres : je me concentre sur mon objectif et je respire.
Donc si tu as une expérience passée où tu as du aller au delà de tes forces, où tu as du te faire violence, c'est le moment d'y puiser de l'énergie.
Courage.
Patrice.