Courage Angelh !J'ai arrêté moi-même ce matin à 11h45 et je vais aussi arriver à 12 heures dans 1h15...
C'est vrai que ce n'est pas simple. Mais quand on s'arrête, force est de constater que ce qu'on ressent est effectivement l'effet d'une drogue. La gestuelle est là bien sûr mais de mon côté, je ne suis pas certain que ce soit le pire problème. Il y a surtout l'ASSOCIATION avec une série de moments de vie. Comme l'a justement bien ciblé Allan Carr dans son livre.
On n'est même plus capable de se faire un resto ou de boire (déguster, tu parles !) un bon vin sans l'associer à une clope. Comme faire face à un petit stress, hop, directement, une clope ! Pour nous aider à quoi ? Il est clair que la nicotine a un effet un peu euphorisant paraît-il. Mais finalement, autant justement s'enfiler 3 verres de vin. Ce sera plus "positif" au niveau de l'euphorisation.
N'était-on pas plus énervé après une clope ? Au point d'en reprendre une seconde puis une troisième ? Parce que, effectivement, ça ne résoud RIEN. Et on ne s'en rend compte qu'au bout d'un moment qui mène... à l'arrêt de cette clope !
Courage encore à toi ! Tu arrêtes avec substituts ou avec la méthode "dure" dont je suis partisant ?
Bise