Bonjour !Me revoilà ! Après mon post de l'autre jour, je n'ai tenu que quelques heures. Pas mal de problèmes au boulot et, alors que je suis en congé, on me tient au courant par tél...
Hier j'ai beaucoup réfléchi à ça. Au rôle de "béquille" que représente la clope. Comme si on ne pouvait plus rien "endurer" sans elle.
De plus, est-ce lié à ma période de prise de conscience de l'arrêt nécessaire... Durant les 3 dernières nuits, j'ai senti mes bronches encombrées, vous voyez, quand un truc doit sortir. Puis on tousse puis ça recommence. Et là, ça commence à me foutre la trouille.
Et là, ben, ce matin, ça m'a vraiment convaincu.
Il me restait 3 clopes que j'ai fumé avec mon café. La dernière, c'était comme une cérémonie il y a un gros quart d'heure. Je l'ai fumée doucement en m'imprégnant bien de son goût (beurk), de son odeur (beurk).
Cette fois, je dis adieu à la clope. 15 ans quasi de vie commune. Petit fumeur au début, je suis passé depuis 4 ou 5 ans à 1 paquet et demi par jour.
Je me dis aussi, parce que c'est aussi une raison pour s'arrêter, que j'aurais pu me payer de sacrés voyages avec tout ce pognon.
J'ai d'ailleurs décidé de mettre de côté chaque mois la moitié de mon EX-budget clope pour me payer des vacances chouettes l'été prochain.
Voilà. Je me promets cette fois de tenir bon. Je sais que ce ne sera pas simple et encore, qui sait ?
L'arrêt n'est-il pas facile quand on a pris la FERME décision au fond de soi d'arrêter la clope et donc, de changer de vie quelque part ?
Sans doute !
Voilà, un post un peu long mais j'ai pris fermement ma décision ce matin et ça fait du bien de vous en parler
Merci aussi pour vos réponses sympas, c'est cool !