Bonjour ,En fait ,c'est bien les effets de manque qui mettent dans des états hystériques ;je me souviens que mon mari (le pauvre)s'en prenait plein la tête au début de mon arrêt .Je changeais radicalement de personnalité ,comme si un deuxième "moi" se révoltait ....A se demander si un exorciste aurait été utile dans ces moments là...!
Heureusement ,d'un tempérament assez calme ,il ne m'écoutait pas chantonner mes "insultes" ,et presque une bombe aurait pu faire sauter la baraque qu'il serait rester impassible !!!
Mais ,ça évolue dans le bon sens ,tout est question de détermination et de force puisée ,d'anti-dépresseur (pour certains et occasionnelle le temps du sevrage )et ,d'aides physique et des fois psychologique.
Le top serait qu'on soit seul ,dans une pièce à se défouler le temps que ça passe et ,en ressortir quand la tempête s'est calmée....mais ,tout le monde n'a pas cet échapatoire donc,prendre son mal en patience .
Le sevrage est souvent très long mais ,bénéfique dans sa durée !!!!
Bref ,il faut vraiment le vouloir pour y arriver !!!!
Bon courage
Sophie